750 grammes
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ça y est j'ai enlevé mon dernier patch!

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ça fait même plus de deux semaines que je circule sans patch ! C'est bien ! Je suis contente ! ça m'a fait tout drôle de ne plus être attachée à la drogue. Je suis encore accro aux nicorettes mais la tabacologue a dit que les nicorettes n'étaient pas toxiques et que donc ce n'est pas grave. J'ai rendez-vous dans un mois et d'ici là je n'ai pas besoin de les restreindre. Je ferai ça après ce rendez-vous.


ça fait depuis environ le 11 novembre que je n'ai pas touché une cigarette. C'est le secret de ma réussite  jusque là : ne plus toucher à une seule cigarette appris grâce au contrat avec la tabacologue. Et deux séance d'acupuncture m'ont aidé aussi.

Je suis encore très motivée par mon arrêt. Parait-il au bout d'un moment la motivation baisse et on peut reprendre. Mais j'attend encore des bienfaits de mon arrêt : plus d'énergie encore.

Sinon j'ai retrouvé un calme intérieur, je suis beaucoup moins essouflée, je gagne du temps, je suis plus résistante.

En revanche arrêter me coute plus cher que de fumer des roulées comme avant et ce malgré l'aide du gouvernement, lol.

Espèrons que ça dure car parait-il en matière de cigarette rien n'est définitif.

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Mot qui n'existe pas (5)



 Enfermer dans sa tête son travail : cloisonner

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Méfiez vous des coiffeurs !

 

Méfiez-vous des coiffeurs ! trois coups de ciseaux et une simple jeune femme intègre et sans histoires est transformée en bombe à retardement. Toute l’animalité cachée par ses cheveux est vue au grand jour. Bonjour les dégâts.

 

Elle avait les cheveux longs légèrement ondulés et très épais. Elle ne les attachait jamais et avait l’air d’une femme de cromagnon. Les couleurs, elle les faisait chez sa mère. Ses cheveux blancs étaient apparus très tôt. C’était de famille. Un des rares coiffeurs chez qui elle s’était rendue avait eu l’idée de lui faire une teinture un peu rouge qui relevait sa peau blanche jonchée de tâches de rousseur. Le coiffeur avait disparu dans la nature suite à un redressement judiciaire et depuis, elle allait se faire couper les cheveux une fois l’an. Parfois sa mère les lui raccourcissait un peu avant de lui faire la couleur. C’était moins cher ainsi. Et de toute façon elle aimait les cheveux longs, naturels. Pourquoi donc sophistiquer, éliminer ce que la nature avait donné de mieux ? Le problème c’est que son entourage n’était pas du même avis. « Pourquoi ne se ferait-elle pas une coupe ? Une belle coupe…. Va te faire plaisir chez le coiffeur….nenenenene ! A part son mari tout le monde voulait toujours la faire aller chez le coiffeur.

 

Et une fois encore, elle s’était laissée persuader de se faire faire une coupe. Une amie lui avait parlée d’un certain Larbi qui tenait échoppe près de chez elle. Elle s’était décidé à prendre rendez-vous et avait composé le numéro. Au bout du fil, une femme d’une amabilité feinte l’avait obligée force salamalecs à venir en nocturne car le carnet de rendez-vous de Larbi était complet. Elle avait accepté pour ne pas trop repousser l’épreuve. «  Autant en finir au plus vite ».

 

Le jour du rendez-vous, avant de partir, elle se regarda une dernière fois dans le miroir, boutonna son manteau, descendit au parking, prit sa super cinq et se mit à chercher le salon de Larbi. Elle longeait la rue principale du faubourg à vitesse moyenne et aperçut une petite boutique modeste avec un néon rose qui épelait LARBI and Co. Elle manqua de rater le feu rouge et décida de tourner à droite pour se garer. Elle regarda sa montre : dix neuf heures cinquante cinq. Elle avait le temps de fumer une cigarette.

Elle se demandait toujours si les gens ne la confondaient pas avec une prostituée quand elle fumait ainsi la portière ouverte, une jambe dehors comme pour inviter le chaland à monter. Elle fumait lentement, inhalant chaque bouffée de poison comme si sa vie en dépendait. Quand elle eut finit, elle prit son sac et marcha vers l’enseigne. Elle entra. C’était petit.

Une jeune femme mince aux cheveux court et colorés était affairée à encaisser un client sur sa droite. Une autre « bimbo » travaillait à colorer les cheveux d’une vieille dame. Ça avait l’air ringard sauf pour quelques photos de filles dont elle n’aimait pas les coupes.

Quoi de plus naturel que les cheveux longs ? Quoi de plus beau ?

Elle vit une homme d’une taille moyenne, très mince, qui coiffait une jeune femme en plaisantant. Ce devait être Larbi. Il lui dit un grand bonjour et elle répondit poliment. La « bimbo » s’occupa de sa veste, la fit patienter sur un canapé de cuir gris. Elle détestait attendre. Elle détestait les coiffeurs. Sa mère lui avait fait couper les cheveux très courts à quatre ans pour les renforcer et tout le monde avait pensé qu’elle était un garçon. A l’adolescence sa mère l’avait obligée à garder les cheveux courts pour qu’elle soit comme elle. D’ailleurs les coiffeurs avaient toujours tendance à dégrader ses cheveux épais et elle se souvenait de ses crises quand ils lui avaient tout coupé. Tout le monde la trouvait toujours très bien mais elle, elle savait que ces cheveux mettraient très très longtemps à repousser. Elle tâtait son crâne et il n’y avait plus cette masse riche, bouclée, parfumée qui faisait sa féminité.

 

La « bimbo » l’invita à passer au shampoing. Elle devait avoir un grade plus haut que l’autre « bimbo » dans la hiérarchie du salon de coiffure. Elle avait l’air plus âgée. Sybille décida de ne plus l’appeler « bimbo » mais « assistante » dans sa tête. L’  «assistante » de Larbi lui lavait les cheveux en lui demandant toute les deux minutes si la température convenait, puis elle lui proposa un soin pour cheveux secs de sa voix suave et décolorée. Sybille pensa : de quoi augmenter la note. Mais elle accepta. La fille massait doucement son cuir chevelu et elle tentait de se détendre. Puis elle arrêta de masser et annonça que le soin devait poser dix minutes. Larbi qui avait fini de s’occuper de sa cliente vint la rejoindre derrière la tête au repos de Sybille et se mit à lui parler bas de sorte que Sybille n’entende pas. La fille disait « D’accord, ok ». Sybille se demandait de quoi ils pouvaient bien parler. Etait-ce possible que ce soit de son cheveu ? Le soin posa dix minutes puis vint le rinçage et la fille refit des simagrées en demandant tous les deux minutes si la température de l’eau convenait. Sybille était morte de peur.

 

Enfin Larbi vint la chercher pour la coupe de sa démarche de félin Elle le trouvait un brin efféminé avec sa teinture gris perle et ses cheveux dégradés. Elle s’assit et Larbi parla. Il lui parla de sa maison de coiffure. Il lui parla du prix de l’appareil qu’elle avait au dessus de la tête qui coûtait autant qu’une twingo et de ses parents qui étaient coiffeurs et de son chien qu’il avait acheté dans un élevage car il était de la race des quelque chose se finissant par anglais. Pendant qu’il parlait, il examinait son visage et ses cheveux mouillés. Il s’arrêta et demanda « Alors qu’est-ce qu’on fait ? »

Sybille avait pensé maintes et maintes fois à sa coupe. Elle avait cherché dans les revues et les images à la maison sans que rien d’autre que les cheveux longs puisse lui plaire.

— J’aimerais la même coupe que Cyndy Crawford, dit-elle en inventant un peu

— Laquelle ? dit Larbi en la regardant dans le miroir l’air intéressé.

Sybille n’avait jamais pensé que Cyndy Crawford puisse avoir plusieurs coupes et se tut.

— Et si tu me faisais confiance ? dit encore Larbi

— Bon d’accord je te laisse faire, dit enfin Sybille.

— Voyons voir….Tu as un visage triangulaire voir rond et donc je te propose cette longueur, dit-il en prenant une mèche entre ses doigts et en la pinçant au niveau de l’épaule.

— Et puis tu as le cheveux épais et on va devoir dégrader…..

— Ah non !

 

 

 

— Bon d’accord.

Larbi se mit à couper en continuant de lui parler de sa vie. Comment il avait vu son père couper les cheveux et comment il avait voulu devenir cuisinier et puis comment il n’avait pas supporté les cuisines et s’était reconverti dans la coiffure, comment il avait fait pour survivre aussi longtemps dans ce quartier et comment….

Sybille les cheveux mouillés ne pouvait faire autrement que de se regarder dans la glace. Elle se trouvait affreuse. Le visage bouffi, ridé, une tête énorme et triste où les défauts étaient bien plus proéminents que chez elle.  Elle voyait ses cheveux s’amonceler par terre tandis que Larbi coupait et elle se sentait de plus en plus mal. Ça allait encore être pareil. Pourquoi s’était-elle laissée persuader de venir? Ces coiffeurs ne voulaient qu’une chose : dégrader ! A cet instant son attention fut attirée par une petite pochette que Larbi et son assistante arboraient sur le coté droit de la hanche. Ils en tiraient ciseaux et autres ustensiles à couper, à dégrader. Elle fut intéressé mais se ressaisit : « Qu’est ce qu’ils étaient maniérés avec leurs coupes et leurs pochettes. Tout ça pour des cheveux ! »

 

Enfin les cheveux furent coupés et Larbi chercha le sèche cheveux pour faire le brushing. Ça avait toujours été très long le brushing pour Sybille vu la masse de ses cheveux. Il commença par lui mettre une bonne douzaine de pincettes multicolores dans les cheveux, séparant les mèches et les enroulant avant de les fixer. Puis il se saisit du sèche-cheveux et la bataille commença. Il se mit à enrouler une mèche autour d’une brosse ronde sur laquelle il passa le sèche cheveux, puis une autre posant la pincette sur la table en face de Sybille. Il enroulait puis tirait, tirait. « Plutôt physique comme métier » pensa-t-elle. Sybille regardait son visage qui recommençait à avoir l’air de quelque chose. Mais quand le brushing fut presque terminé et qu’elle se résignait enfin à être plus moche qu’avant elle jeta un regard à la glace et eut soudain une inquiétude. Le visage qui la regardait se mettait à ressembler de plus en plus à….Monica Levinski. Elle imaginait le cigare et Bill Clinton. Elle n’aurait jamais du venir chez ce coiffeur.  Tout le monde se ficherait d’elle. Elle le dit à Larbi qui fit une moue mais ne répondit rien.

Quand le brushing fut enfin terminé, Larbi lui proposa de mettre un peu de cire sur ses cheveux pour atténuer le volume.

 

 

 

Elle accepta qu’il mette de la cire sur ses cheveux en espérant qu’elle ne serait pas facturée. Elle essayait d’être tout à fait décontractée. Enfin Larbi lui présenta le miroir pour qu’elle puisse admirer le travail qu’il avait fait à l’arrière. Sybille avait de la sympathie pour ce Larbi finalement et elle lui fit le plus beau compliment qu’elle put trouver :

 

 

 

 

Larbi lui chercha son manteau et il encaissa en lui proposant la carte de fidélité. Elle présenta sa carte bleue et ne regarda pas le prix. Elle verrait ça plus tard, dehors. Larbi lui tint la porte et lui dit « à bientôt » tout comme ses assistantes.

 

 Enfin elle était dehors. Elle regarda l’effet que faisait sa coupe sur les passants. Plusieurs la regardèrent. Elle fut surprise. En marchant vers sa voiture, elle essayait de se regarder dans la vitrine du coiffeur concurrent dans la rue de Larbi. Mais elle ne voyait pas bien. Pourtant, elle se sentait changée, domestiquée. Elle tourna la clef dans la portière de sa voiture, s’assit et baissa le pare-soleil pour se regarder dans le petit miroir. Elle ne voyait toujours pas très bien. Mais elle se sentit belle, différente. Elle regarda la note : 75 euros ! Pourtant Larbi lui avait dit qu’il n’avait pas augmenté ses prix depuis deux ans. Et puis flûte ! se dit-elle. Elle conduisit sa super cinq comme une diva qui se rend à l’opéra. Elle ne voulait pas trop faire l’allumeuse mais regardait discrètement l’effet qu’elle faisait. C’était mieux que d’habitude.

 

Enfin elle fut chez elle. Les enfants étaient en vacances chez sa mère. Elle passa dix minutes devant le miroir à s’examiner. C’était court. Elle n’avait pas l’air de la jeune femme de ses rêves, ni d’une femme de cromagnon. Il faudrait qu’elle s’habitue. Tout à son examen elle décida d’enfiler les nouveaux habits que lui avait acheté sa mère et se regarda encore. Ah oui. Ça faisait cadre supérieure. Elle décida de sortir ainsi attifée.

 

Habillée et coiffée, avec l’air de la diva en mission  sur son visage, elle n’était plus la même femme. Dans le tram elle fit sensation. En ville elle s’assit sur un banc car elle était en avance et elle se fit aborder par trois hommes en un quart d’heures. Du menu fretin certes mais quand même cela ne lui arrivait jamais avant.

Sybille se sentait bien finalement avec sa coupe et elle se dirigea vers le bar.

 

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J'ai trouvé comment faire du fromage de chèvre et de vache à partir de lait pasteurisé

Eh oui j'ai trouvé une recette de fromage que j'ai testée. C'est pas trop mal.

Recette :
Faire bouillir un litre de lait pasteurisé
Retirer du feu quand ça bout
Mettre un cuil à soupe de gros sel
Mettre 5cl de vinaigre
Couvrir d'un linge et laisser cailler 5 minutes
Verser dans un moule à fromage couvert d'un linge pour égoutez
Ensuite on peut faire de petits fromage frais avec des fines herbes, de l'ail, du cumin....etc


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C'est sans doute mieux avec le lait acheté frais chez le fermier ou peut êre peut-on laisser égouter de la faisselle ou du lait caillé, néanmoins pour 0,35 euros vous avez un pot de fromage frais.

Recette du Bürekaas de ma grand-mère
Faire du fromage avec de la faisselle 

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Jungle urbaine- scéne de la vie quotidienne

L’homme est mince, de métal. Ses yeux son métalliques, son être est métallique. Tout est contrôlé en lui. Il est habillé élégamment de noir et de gris avec un col roulé je crois.

Il prend le tram avec un jeune homme des cités. Le jeune homme n’a pas l’air de savoir ce qui lui arrive. Je ne sais pas s’il parle bien français ou s’il parle avec un accent. Je n’entends pas. Je suis assise trop loin. Il n’a pas idée de ce qui, j’en ai peur, l’attend.

Je ne sais pas ce qu’on lui a promis, quel était l’appât. Il passe un coup de fil. Je les regarde. Je ne dis rien. Je ne fais rien. Je ne préviens pas le jeune homme.

L’homme de métal a vu que j’ai vu. Il a vu que j’ai détourné le regard et fait comme si de rien n’était. Le jeune homme me regarde aussi. Je ne fais rien. J’ai trop peur que ça recommence.

Il y a une interrogation dans le regard du jeune homme. Je détourne le regard. Je me protège. Les autres personnes du tram ne réagissent pas. Ce sont deux hommes qui prennent le tram.

Je ne sais pas si ce que j’ai vu est ce que je crois. Si ce que j’ai vu est ce que je crois c’est immoral de n’avoir rien vu. Si j’étais intervenue je ne sais pas ce qui se serait passé. Tout ça aurait recommencé. Je sais que si ce que j’ai vu est ce que je crois on en sort les pieds devant. Du moins c’est ce que quelqu’un m’a dit un jour quand j’ai évoqué le sujet. Je vois que l’homme de métal emmène sa proie et qu’ils sortent du tram.

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Faire soi-même ses herbes congelées prêtes à l'emploi

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Je ne sais pas combien coûtent les herbes congelées que l'on achète mais j'ai essayé d'en faire moi-même et ça a marché.

J'ai acheté de la coriandre,  je l'ai hachée au robot , je l'ai mise dans un petit tupp et je lai congélée. Une fois congelée faut remuer un peu avec la fourchette mais maintenant j'ai de la coriandre prête à l'emploi et hors saison.

On peut acheter ces herbes lorsque c'est la saison car elles sont moins chères et se faire son stock à ce moment-là.

Une photo pour preuve!

Le persil, la coriandre, le cerfeuil se congèlent très bien mais il vaut mieux les ciseler, les couper aux ciseaux que les passer au mixer. Elles dégagent plus d'arôme ainsi.

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Mot de la semaine 21 : les médias...

  P1000459.JPG Strasbourg

Les médias utilisent principalement l’argument ad hominem. En rhétorique l'argument ad hominem consiste à attaquer l'autre sur sa personne, sur des caractéristiques personnelles, liées à son comportement, son caractère, au lieu d'apporter des arguments théoriques, objectifs et nus qui alimentent le débat.

Ce que je voulais dire par là c'est que les médias jouent sur ce que nous avons de plus intimes, des sentiments humains comme l'envie, le désir d'être aimé, la vanité, l'orgueil, le désir de puissance, les fantasmes, etc.

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Reconnaissance des crimes de la colonisation (instrumentalisation)

Dans un précédent article  j'écrivais qu'il était urgent de reconnaitre les crimes de la colonisation. Ces crimes ont eu lieu. J'étais dans une vision de progrès de la société française et pensait que si l'on reconnaissait officiellement ces crimes ça pourrait arranger pas mal de choses. Beaucoup de français perdraient des illusions sur la colonisation, d'autres veraient leur histoire reconnue.

Le problème c'est que souvent ceux qui réclament la reconnaissance d'un massacre, de la responsabilité de la France dans telle chose abominable, veulent aussi réparation en argent. Et là je sais pas mais ça me fait tiquer. Est-ce mon chauvinisme? Un reste de racisme ?

Sur un site  associatif harki j'ai lu que l'histoire était une suite de massacres. Malheureusement c'est vrai. Certains pays vaincus comme l'Allemagne payent des réparations au vainqueur mais pas trente ans après la signature du traité de paix.

Quand aux progrès et  à l'évolution des mentalités je ne suis plus sure d'y croire. Les mentalités changent. Progressent-elles?

Les hommes restent les hommes avec leurs jalousies, leurs passions, leurs désirs. Vu comment les gens se comportent au sein de mon service, je doute  qu'un progrès soit possible.


En plus j'ai cru comprendre que ces questions suscitaient beaucoup de passions dans le monde et qu'il ne fait pas bon d'être blanc dans certains endroits indifféremment de ce qu'on a fait ou pas fait.

Sans revenir sur le fait que des crimes ont eu lieu, je vais juste arrêter de dire qu'il faut les reconnaitre officiellement.

J'ai pas non plus envie d'être instrumentalisée par des gens qui ne feraient qu'une bouchée de pain de ma personne et de ses états d'âme.

A la guerre comme à la guerre.

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Faire sa vinaigrette soi-même !





Eh oui. La vinaigrette se conserve aussi hors du frigo avec des risques quand même ( voir fin de l'article sur le botulisme). C'est une collègue qui m'a appris cela. Ainsi on peut faire sa vinaigrette à l'avance et elle se conserve. Bon à condition de la faire avec de l'huile et du vinaigre ou mieux de l'huile d'olive et du  citron - le  guérisseur Mességué conseillait le citron à la place du vinaigre d'alcool. A conserver à l'abri de la lumière car la lumière détruit la vitamine C contenue dans le jus de citron.

Ma recette : moitié jus de citron - moitié huile d'olive- sel. on peut mettre un yaourt dans cette toutouille  mais alors faut la consommer vite. Elle ne se conserve pas.

Sinon pas de problèmes.... Je ne sais pas si on fait beaucoup d'économies en argent car il faut acheter le citron et l'huile mais penser aux économies santé !

N'oubliez pas : faite-le vous même car au moins vous saurez ce qu'il y a dedans !

Parait-il : seuls les paranos s'en sortent, lol

 

Attention au dépôts de pulpes de citrons séchés sur les bouteilles ou immergés dans la partie "huile", attention aussi si vous rajoutez des oignons ou de l'ail. Les dépôts végétaux peuvent provoquer le botulisme sauf s'ils sont dans un liquide acide ou conservés au frigo. Votre vinaigrette doit être acide aussi.

ça fait bien 6 ans que je fais comme ça avec moitié citron ou vinaigre, moitié huile hors frigo et je n'ai jamais eu de problèmes. Mais prudence est mère de sûreté. 

 

Si vous voulez minimisez les risques vous pouvez toujours la préparer à l'avance et la conserver au frigo.

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Terre d'olina

Bonjour,

Terre d'Olina - boutique en ligne pour trouver les ingrédients des cosmétiques maison-  va  bientôt ne plus exister car Sonia la personne qui s'en occuppe écrit quelle souhaite se consacrer à ses enfants et que terre d'olina lui prend trop de temps.

Terre d'olina est le seul endroit où j'ai réussi à trouver de la lanoline et c'est pas peu dire ! Je ne suis pas pharmacienne et ne peut me fournir là où les pharmaciens le font.

J'ai écrit à  Sonia et lui ai suggéré de vendre son commerce ou de le confier à quelqu'un. Elle m'a remercié de mes encouragements.

Alors si ça vous intéresse, envoyer-lui un mail sur le site terre d'olina.

Je pense sérieusement qu'une affaire honnête comme la sienne pourrait encore faire des heureux et que c'est dommage qu'elle disparaisse.


Sonia ne m'a pas autorisée à publier ceci mais je me dis que vu les statistiques de fréquentation de mon blog elle ne devrait pas être submergée de mail de gens voulant reprendre son affaire. Pourtant une heureuse coincidence pourrait lui rendre service.
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Au diable l'avarice : the show must go on!

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                                        Strasbourg by night

ça fait déjà quelques temps que je me dis que mon article "l'adieu" n'est jamais lu. Et en fait ce matin je me suis rendue compte que c'était normal car il n'est plus sur mon blog. lol.....


Alors je me suis souvenue que j'avais enlevé toutes les nouvelles publiées sur ce blog  parce que je voulais les mettre sur mon  futur site, gagné chez Galbette. En effet je pensais qu'ils seraient mieux mis en valeur ainsi, qu'ils auraient un aspect plus professionnels.

Suite  au commentaire d'un bloggueur et sur ses conseils j'ai fait une recherche Google sur Galbette. J'en ai déduis que je pouvais faire un site du type qu'ils le proposent moi même et pour moins cher - je ne l'ai pas encore fait et ne vais peut être pas le faire par manque de temps- et je leur ai envoyé un recommandé par résilier mon contrat, sa reconduction et renoncer à mon gain. Je vais voir en juillet prochain s'ils m'envoient une facture, s'il faudra que je me batte avec eux car je n'ai pas reçu de nouvelles de leur part.

Par ailleurs j'aimerais bien gagner de l'argent, ne serait-ce qu'un peu avec mes écrits car  un libraire m'a dit un jour qu'un travail d'écriture doit être rémunéré lors de la publication. C'est juste comme remarque. Si vous arrivez à gagner de l'argent avec vos créations intellectuelles c'est qu'elles ont de la valeur, sont reconnues aux yeux d'autrui- puisquils sont prêts à payer pour vous lire. Je pense que ce que j'écris-là peut choquer. C'est néanmoins une très bonne remarque.

Pourtant en parcourant mon blog, je me rends compte qu'avec tous les textes que j'ai supprimé, il  n'a presque plus de caractère littéraire, ce qui était un de ses raisons pemières d'être. Alors je vais remettre dessus les textes que j'ai supprimé. Même sils ne sont pas bien présentés et s'ils ne me rapportent pas d'argent.Après tout j'ai qu'à augmenter ma production, dormir moins, me doper, devenir wonderwoman !

Au diable l'avarice !

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I wish you a merry chistmas, I wish you merry Chrsitmas, I wish you a merry Christmas and a happy New Year !

Je ne sais pas si vous connaissez la mélodie que j'ai en tête..... et je ne crois pas qu'on puisse mettre de la musique sur  un blog pourtant les mots sont de la musique parfois....

Merci à mes lecteurs, visiteurs, déclarés (commentaires) ou non, d'accord avec moi ou non, convaincus ou non, critiques ou non, etc.
Merci de passer par là et de vous arrêter une minute pour lire ou regarder, lire en lecture rapide, survoler, regarder une image.
Depuis la création de mon blog et depuis que je publie dessus régulièrement vous êtes plus de 5000 visiteurs uniques donc un peu moins de lecteurs en chair et en os.
Je vous souhaite à tous, même au pire d'entre vous, un joyeux Noel et une bonne année.

Merci tout particulièrement à ceux qui me soutiennent régulièrement sur ce blog : Doudou38, jocelyncharles.

L'année qui pour moi devait m'apporter le plus sur le plan astrologique, année où mon signe chinois et mon signe occidental revêtaient une conjoncture particulièrement favorable, année qui devait réaliser tous mes rêves, a été la plus désatreuse car elle a réalisé mes rêves les plus fous dans le délire, la folie. C'était l'année de mes 23 ans. C'est quand ma vie sera finie que je pourrais dire si c'était vraiment une année favorable, lol.

A vos bonnes résolutions chers lecteurs ! Surtout n'ayez pas peur d'en faire! Mais un conseil : gardez-les secrètes car après on vous demandera de les tenir!

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Mot qui n'existe pas (4)


Etre dégoutée des être humains, physiquement.

 

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Mot de la semaine 20 : l'indifférence...

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Je faisais partie de ces gens que l’on côtoie tous les jours dans la rue, le tram, le train, l’avion et qu’on ignore pour se protéger, se préserver, des gens en souffrance que l’on pourrait aider, des SDF, des gens en pleurs, des fous, des gens violents, bêtes, gros, qui si l’on discutait avec eux, s’intéressait à eux pourraient changer et aller mieux, ce magma de gens qu’on laisse à leur souffrance et dont on prononce le verdict dans notre tête en passant. J’ai côtoyé beaucoup de personnes qui auraient pu m’aider de façon informelle dans ma vie de tous les jours, des profs, des amis, qui auraient pu remarquer les signes que je leur adressais mais qui prononçaient leur verdict et me laissaient dans ma souffrance, ma course, jusqu’à ce que je pète carrément les plombs et endommage mon cerveau, seul outil qui pouvait me servir puisque j’étais destinée à un travail intellectuel. Et moi-même je fais la même chose maintenant. J’ai essayé de répondre à toutes les sollicitations, d’aider tout le monde ou du moins les gens qui demandaient mon aide. Mais cela n’allait pas, je n’avais pas assez d’énergie pour répondre à toutes les sollicitations et j’étais souvent déçue par la réaction des gens en retour de mon aide. Ils ne l’appréciaient pas. Elle allait de soi. Ainsi je fais comme vous je me protège et c’est seulement quand je le décide que j’accepte d’apporter mon aide à quelqu’un. Au moins je suis appréciée à ce que j’appellerais ma juste valeur. Je suis comme mes bourreaux d’hier.

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Conseils anticancers par David Servan-Schreiber

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Strasbourg, quai Fustel

Je voulais juste mettre un petit lien vers le site de ce médecin car on peut y télécharger un livret gratuitement qui donne des conseils aux gens désireux d'éviter le cancer. Oui ce que je viens d'écrire parait énorme. Mais c'est bien ça . Le sens en français est juste!

Vous pourrez télécharger le livret
à cette adresse.

Une dame médecin de mon entourage après l'avoir lu disait qu'il n'y a pas de recettes miracles par rapport au cancer mais que ce livret constitue une méthode pour avoir une bonne hygiène de vie. Et qu'il était donc pas mal.

Pour tout vous dire je n'ai pas acheté le livre de Monsieur Servan-Schreiber. On m'avait prêté le précedent et il était pas mal bien qu'il n'ait pas résolu mes problèmes psys de l'époque. Mais je lis ce petit livret et bien que je ne suive pas tout je m'en inspire pour faire mieux.

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