"C'est comme cela que l'on souhaite "Bonne santé" chez les Gitans.

"Chez nous, la bonne santé est innée parce que, depuis des générations, nous avons vécu en plein air. Nous sommes assoiffés de liberté, des joies du voyage et les racines, les fruits et les herbes - les remèdes qu'offre la Nature - sont nos médicaments et nos traitements préventifs"
"Chacun d'entre vous peut acquérir une bonne santé, asseoir les fondations du bien-être de ses enfants sur des terrains sûrs en observant une façon saine de s'alimenter. Les légumes verts, frais, les herbes et les plantes à peine cueillies, les baies aussi, contiennent tous des molécules du soleil. etc"
Préface "Il est possible que les deux plus importants conseils préventifs indiqués dans ce livre, tous deux faciles à respecter, soient : la marche quotidienne au grand air et le fait d'être heureux en regardant autour de soi, en donnant et en pensant aux autres."
"C'est un fait reconnu que les vrais Gitans ne commencent à vieillir qu'au alentours de quatre-vingts ans. Quel est le secret qui leur permet de conserver leur jeunesse ? L'un d'entre eux - et ceci décevra les mangeurs de viande - est qu'ils ne mangent que peu de viande."
Livre acheté par ma grand-mère Augustine et qui m'est revenu, qui contient encore beaucoup de secrets.
Il faut lire le livre et le conserver dans sa bibliothèque.
Danke Schön an die Personnen wie in Basel arbeiteten, die mir geholfen haben zu Mainz ankommen wen ich verloren war an einer autobahn haltestellen. Sie haben mir den weg gezeigt und ich bin gut angekommen. Danke sehr.
(Les Gitans auraient pour devoir d'aider le voyageur égaré à trouver sa route)
Pendant la guerre 39-45 mon grand-père avait été fait prisonnier dans un camp et c'est grâce à un ami gitan et un autre qui avait baroudé en plein air qu'il a pu manger tous les jours en faisant cuire des soupes d'orties et d'herbes et les restes de patates " tombées du camion" sur l'ancien site de la cuisine du camp. " J'ai vu un homme, Anne-Marie, qui pleurait de faim, de faim"
"Le vértitable progrès Miss, disait mon psy, c'est qu'à Strasbourg, plus personne ne meurt de faim"
"Du hesch a welle !" m'a dit un jour ma grand-mère. Elle avait elle-même une grande force de volonté. Merci à elle.
"On fait ce qu'on peut, Miss. -;)"disait-il aussi. Et quand on entend ça, ça va déjà beaucoup mieux.