Les connaissances parasites….
Le roman consiste-t-il en une connaissance parasite ?
Après tout pour sonder l’âme humaine et voir ses travers, on accepte d’aborder le mal par souvenir ou empathie, on l’envisage, le
considère, le décrypte.
N’est ce pas mauvais ?
Mais voir le mal dans l’âme humaine est une preuve d’amour puisqu’on accepte de se salir, de voir le mal, le considérer, le ressentir
pour mieux le dénoncer. C’est ce que font certains romanciers.
A mon avis ils savent que ça leur attirera des ennuis, mais bon….
Et d’ailleurs le mal est présent en chacun de nous. Nous avons tous déjà fait du mal. Et le pire mal à mon avis c’est pas de dire un
gros mot, de fumer ou même d’être alcoolique.
Le mal certains l’appellent défauts, encore qu’un défaut sert parfois.
Alors suffit de regarder en soi-même. Comme c’est soit et qu’il vaut mieux s’aimer, on peut le tolérer chez soi et
donc chez les autres.
Après tout c’est humain.
Mais il est légitime de faire attention à ses fesses, de se défendre, se protéger. Ça veut pas forcément dire se venger, ça…
Je ne donne pas cher d’un agneau sans défense parmi les loups.